Je la traquais donc, toujours de brume, lentement, surement....
Cela dura un petit peu de temps, environ une petite demi-heure je dirais, jusqu'à ce que le bon moment arriva.
Je sautais alors sur ma proie, ne lui laissant aucune chance de se défendre. Je la mordis et bus goulument à son cou même.
Je me rassasiais et relâchais le corps sans vie de ma victime.
Après avoir fini de cacher le corps, je reprenais la route de l'Ecole. J'avais été bestiale et cruelle mais au moins ma victime n'avait pa eu le temps de souffrir.